Malika Episode 2 : La Découverte De LÉrotisme
Je savais maintenant que Malika était prête à soffrir à moi sans aucune retenue ; « à prendre son
plaisir » comme elle le disait si joliment. Quand elle avait décidé de venir chez moi, elle nétait
pas très rassurée sur le type dhomme quelle allait trouver. Certes, elle avait fait ma
connaissance la veille au magasin, puis la nuit au téléphone ; mais cétait une connaissance
superficielle qui ne lui suffisait pas pour mettre à nu ma vraie personnalité.
Mais depuis une demi-heure quelle était avec moi et chez moi elle semblait rassurée. Elle
navait pas trouvé en moi la brute prédatrice quelle avait peur de découvrir ; une brute qui allait
profiter de son instant de faiblesse pour la traiter telle une catin (Elle aimait bien ce mot,
aujourdhui démodé, quelle préférait à pute ou putain, qui lui paraissaient trop vulgaires). Elle
avait peur que je me comporte avec elle comme si elle était une moins que rien (une catin !) parce
quelle avait cédé à ses pulsions et au désir de venir chez moi pour se faire tirer ; cela, pensait
elle, pouvait me donner le droit de lui faire toutes sortes de cochonneries immorales et, donc, de
lavilir.
Elle pensait que la majorité des hommes étaient incapables de maîtriser leurs bas instincts et ne
manqueraient pas de profiter dune situation telle que celle dans laquelle elle sétait mise, pour
les assouvir. Elle était sûre, au moment même où elle avait mis les pieds chez moi, que jallais
montrer mon « vrai visage » ; celui du mâle qui tient à sa merci une femelle et qui allait la
traiter comme la chienne, quelle pensait être, parce quelle navait pas su résister à lappel du
plaisir.
Jai toujours donné de moi limage dun homme réfléchi et rationnel. Mais dans la réalité je suis un
intuitif intégral. Je ne réfléchis quaprès coup; le plus souvent pour donner une assise rationnelle
à un comportement ou une action qui ne semblaient pas en avoir.
fonction dintuitions plus ou moins fortes, lesquelles, jusque là, mavaient très rarement trompé.
Avec Malika, javais eu tout de suite lintuition quelle napprécierait pas du tout que je me
comporte de manière désinvolte avec elle. Elle naurait pas aimé, malgré le fait que sa présence
chez moi ne pouvait souffrir daucune interprétation, autre que le désir de baiser, que je la traite
comme une catin qui ne mérite rien dautre que dêtre tirée - sans même y mettre la forme - à la
manière dune chienne. Je sentais que par-dessus tout, elle avait peur dêtre mal jugée.
Elle avait apprécié ma manière de laccueillir comme une amie, sans faire montre dun quelconque
empressement à la sauter et avait rapidement pris confiance. Je lui apparaissais comme quelquun
de très compréhensif : je comprenais son désarroi et ne la jugeais pas. Cétait suffisant pour quen
très peu de temps, les craintes de départ, se transforment en confiance et
en bien être. Je me
rendais compte maintenant quelle était vraiment à laise en ma compagnie.
Il navait pas fallu plus dune demi-heure pour quelle se détendît complètement et sabandonnât
dans mes bras. Elle se laissa emporter par mes baisers. Javais pris soin dy aller en douceur, en
commençant par ses mains (une manière de lui montrer que javais du respect pour elle) puis en
passant à ses joues que jeffleurai de mes lèvres, sans trop insister, puis à la jonction de son
épaule droite et de son cou. Elle poussa un léger gémissement de plaisir au moment où mes lèvres se
posèrent sur le creux de son épaule et je la sentis frémir. Dévidence, cétait un endroit très
sensible. Elle se mit presque à trembler sous la pression de ma bouche et je la sentis se crisper et
se mettre totalement à lécoute du désir qui commençait à la remplir.
Elle ne disait rien, mais je voyais à sa bouche à moitié ouverte, à ses lèvres qui palpitaient et à
sa respiration qui devenait de plus en plus bruyante et saccadée, quelle était de plus en plus
excitée et quelle se laissait aller au plaisir.
elle. Elle était exactement comme je me limaginais la veille pendant que nous faisions lamour au
téléphone : totalement offerte et à lécoute de ses sensations et de ses pulsions. A lécoute aussi
des désirs de son corps assoiffé de plaisir et en attente impatiente de délivrance et de jouissance.
Elle nosait encore rien dire pour exprimer le plaisir quelle était entrain de vivre, mais je
sentais son excitation grandir au fur et à mesure que mes baisers se faisaient plus pressants et
plus insistants.
Je voulais maintenant goûter à sa bouche quelle avait immense, mais parfaitement proportionnée avec
son visage long et ovale. Une bouche entourée de lèvres superbement ourlées et pulpeuses. Elles
étaient légèrement maquillées, toujours à demi ouverte et tendues comme pour quémander un baiser.
Baiser que jentrepris aussitôt de lui donner. Baiser torride et mouillé qui fouetta mes sens et me
mit dans un état dexcitation impossible à décrire. Elle embrassait superbement bien.
Le baiser que nous échangeâmes en ce début de notre relation, préfigurait toute la passion érotique
qui allait suivre ; un baiser qui constituait à lui seul un véritable acte sexuel qui pouvait
suffire pour mener à un orgasme intense. Javais limpression dêtre pris dans un violent ouragan et
dont je sortirai - dont nous sortirons - complètement lessivé, tant elle y mettait de fougue et
dintensité. Un baiser qui dura une éternité et qui avait comme acteurs principaux nos langues et
nos lèvres. Elle utilisait ses lèvres, fermes, douces et élastiques, comme des ventouses quelle
collait aux miennes, sans laisser le moindre interstice. Des ventouses dune douceur, dune chaleur
et dune sensualité infinies.
Quand javais commencé à lembrasser, javais lintention dêtre le seul maître du jeu ; celui qui
dirigerait tout.
exactement comme elle le voulait. Elle me força à ouvrir les dents pour laisser passer sa langue et
aller à la recherche de la mienne. Elle voulait une confrontation, à lintérieur de ma bouche, entre
nos deux organes linguaux. Sa langue avait pris totalement possession de ma bouche. Elle venait y
affronter ma langue pour lui imposer un combat, quelle était sûre de gagner; elle lui montait
dessus, lenroulait, sen éloignait légèrement pour mieux revenir à lassaut. Elle en profitait pour
aspirer et boire goulument toute la salive que ma bouche produisait.
Jessayais bien de riposter et denvoyer ma langue à lassaut de sa bouche en profitant dun moment
de répit où elle était obligée de reprendre sa respiration. Mais très rapidement, elle reprenait
la main et recommençait sa domination. Le baiser dura une éternité et nous mena, elle et moi, au
bord de l. Nous éloignâmes nos visages lun de lautre et nous nous regardâmes avec dans
les yeux un million détoiles scintillantes. Elle menvoya un éclatant sourire, qui était une
invitation à aller encore plus loin.
Nous étions toujours assis sur le grand fauteuil du salon ; je la repris dans mes bras et la serrai
très fort de manière à ce que le haut de son corps épouse le mien ; je la collai à moi de manière à
bien ressentir, à travers le haut de son jogging, la fermeté de son opulente poitrine. Même là, elle
voulut reprendre linitiative et frotta voluptueusement ses seins contre ma poitrine. Leffet ne se
fit pas attendre : mon sexe qui, sous leffet du baiser torride de tantôt, avait déjà atteint sa
dimension maximale, se mit à frémir dimpatience. Mon bas ventre commençait même à me faire mal ;
un mal très agréable, mais difficilement soutenable, tant lenvie était forte de posséder le
magnifique corps de Malika.
- Tu es magnifique ! lui susurrai-je. Tu mas mis dans un tel état dexcitation que jai peur
pour toi !
- Pourquoi ? Tu vas me violer ? Je nattends que ça ! Moi aussi je suis très excitée. Pour
dire la vérité, je suis excitée depuis la nuit dhier. Je nai pas pu dormir, tant javais envie de
faire lamour. Quand mon mari est rentré, au petit matin, jai voulu quil me fasse lamour pour
éteindre le désir qui me consumait. Il mavait très vite fait savoir quil était trop fatigué pour
penser « aux galipettes ». Jen avais été très vexée et déçue. Je crois même que cest cela qui
mavait décidée à venir aujourdhui. Cest presque une vengeance vis-à-vis de son indifférence
envers moi.
- Ce nest pas parce que je te plais et que tu veux vivre un amour-passion avec moi ? Je suis
déçu !
- Arrête de dire des bêtises et fais-moi lamour. Montre-moi que tu es vraiment lhomme quil
me faut. Lhomme qui va me faire atteindre le nirvana. Tu es déjà celui qui a réveillé mes sens et
ma donné lenvie de sexe et de jouissance. Maintenant je veux plus : je veux lhomme qui assouvira
mes désirs et me fera vivre tous les fantasmes que jai essayé de dissimuler pendant toute ma vie de
femme. Baise-moi !
- Tu veux que je te tire tout de suite ? Tu veux commencer immédiatement par une pénétration ?
- Oui ! Jai trop envie ! Jai besoin que tu me fasses sentir ta puissance ! La puissance de
ton sexe ! Cela ma tellement manqué que je ne peux plus attendre. Nous ferons lamour après ! Pour
linstant je veux que tu me baises ! Comme une chienne ! Comme une catin !
Jétais moi-même tellement excité que jétais heureux dobéir à lenvie de ma belle de se faire
sauter sans autre préparation que le baiser de tantôt et le frottement de sa généreuse poitrine
contre la mienne. Je la fis se lever du fauteuil pour la déshabiller. Je commençai par le haut de
son jogging que je fis passer en un tour de main au dessus de sa tête. Elle resta ainsi avec un
soutien gorge à balconnet, de couleur violette, au dessus duquel apparaissaient une magnifique paire
de seins, volumineux et bruns, se terminant par deux tétons violets entourés dune auréole de
couleur marron foncé.
Je tendis les mains pour les caresser et tester leur fermeté. De la soie ! Du marbre ! Je ne croyais
pas que des seins aussi volumineux pussent avoir autant de fermeté. Surtout après deux grossesses !
Et bien les seins de Malika avaient encore et naturellement ! la fermeté de ceux des jeunes
filles sortant à peine de la puberté. Je voulais les libérer du soutien gorge, mais je navais ni la
patience, ni lhabileté pour chercher, et ouvrir, le mécanisme qui le maintenait. Je le fis donc
passer par-dessus la tête de ma mie qui se retrouva le torse complètement nu. Elle me laissa tout le
temps dadmirer le spectacle avec, sur les lèvres, un merveilleux sourire de satisfaction. Elle
savait quelle était belle et aimait que je la regarde comme cela : les yeux exorbités et la bouche
ouverte, bavant de désir.
Au bout dun moment, je décidai de moccuper du pantalon du jogging, que rabaissai dun seul coup
sur ses chevilles, prenant au passage la culotte de soie qui était de la même couleur que le
soutien-gorge. Je découvris le Paradis ! Quel spectacle ! De longues jambes de couleur mate, en
totale harmonie avec son teint général, avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds
surmontés de longues cuisses potelées et se terminant par un entrecuisse en forme de triangle bombé
et luisant. Il ny avait absolument aucune trace de poils sur son pubis arrondi ; elle sétait
certainement épilée le matin même. Elle était bandante à souhait. Pendant quelques secondes
jadmirai le spectacle de cet entrecuisse qui laissait deviner plutôt que voir ou même entrevoir -
une chatte longue et dodue, de couleur encore plus sombre que le reste de son corps. Javais une
envie folle de lancer ma main pour prendre possession du jardin dEden qui me faisait face.
Mais je voulais dabord quelle se débarrasse du pantalon et de la culotte qui étaient restés
coincés sur ses chevilles. Cela donnait un spectacle dun érotisme torride. Dun côté, je voulais
continuer dadmirer le magnifique panorama quelle moffrait ainsi, totalement nue et offerte, avec
seulement son pantalon de jogging et sa culotte rabaissés en dessous de ses mollets. Dun autre je
désirais ardemment quelle se débarrasse de ces chiffons et quelle me permette davoir un accès
libre à sa chatte, que je voulais voir dans sa totalité et, surtout, que je voulais posséder tout de
suite.
Je lui fis signe, en pointant du doigt le pantalon, de sen débarrasser. Ce quelle fit en levant
une jambe et puis lautre et en envoyant les bouts de tissus à lautre bout de la pièce dun coup de
pied digne des plus grands footballeurs. Elle me regarda pour voir leffet que me faisaient ses
parties intimes offertes à mon regard concupiscent. Jen bavais presque, tellement je bandais et
tellement javais envie de sauter sur elle pour moccuper de sa merveilleuse chatte.
- Je suis belle nest-ce pas ? Bghit ettnikni ? (Tu as envie de me niquer !) Wach testena ?
(Quest-ce que tu attends ?) Koul hatchouni ! (Bouffe-moi la chatte !)
Javais déjà remarqué la nuit précédente que Malika aimait sexprimer dans sa langue maternelle
quand le désir la submergeait. Cela semblait ajouter à son excitation et au plaisir quelle prenait.
Et moi jadorais entendre tous les mots crus quelle prononçait ; ils accroissaient lintensité de
mon désir pour elle.
- Rani djay ! (Jarrive !)
Je mapprochais delle et la pris par la taille pour la guider vers le fauteuil. Je voulais quelle
sasseye et quelle écarte les cuisses pour me montrer toute son intimité. Elle sassit et écarta
les genoux, étalant devant mes yeux exorbités sa merveilleuse chatte que je voyais palpiter. Elle
était complètement épilée : aucune trace de poils ; comme pour son mont de vénus, jétais sûr
quelle lavait rasée le matin même, confirmant par là quelle sétait préparée pour ce qui était
entrain de se passer. Les grandes lèvres, de couleur légèrement plus sombre que celle de ses cuisses
et de son pubis, étaient longues et bombées. Elles étaient surmontées dun petit bouton brun son
clitoris. Javais rarement vu une chattes aussi belle avec un clito aussi évident, ferme et
palpitant.
Je tendis la main pour memparer du petit bouton et le pris entre trois doigts. Malika se crispa au
contact de mes doigts et poussa un petit gémissement rauque de plaisir. Un gémissement qui venait du
fond de ses entrailles. Elle referma ses cuisses pour obliger ma main à maintenir la pression sur
son clito. Elle avait ouvert la bouche et semblait avoir du mal à respirer. Elle était toute à son
plaisir de se faire caresser ainsi.
- Ma tahbesch ! Zid hak li ! Ach hal mlih ! (Narrête pas ! Continue de me caresser ! Comme
cest bon !) Zid ! Zid ! Koul-li sawti ! (Encore ! Encore ! Bouffe-moi la chatte !)
Lui bouffer la chatte ! Cette idée me trottait par la tête depuis le moment où javais découvert le
spectacle de ce superbe « hatchoune ». Je voulais connaitre et son odeur et son goût et je voulais
aussi mabreuver de tout ce jus qui faisait briller ses petites lèvres et quelle semblait produire
à profusion. Je me mis donc à genoux par terre, de manière à avoir ma bouche au même niveau que ses
grandes lèvres. Je commençais par memparer de son clito que je suçais et tétais comme si cétait
une toute petite queue. Il était aussi ferme sous mes lèvres que, tout à lheure, sous mes doigts.
La belle poussait son bassin vers lavant, de manière à ce que mes lèvres restent collées contre sa
chatte. En même temps elle donnait à ses hanches un mouvement circulaire qui devait certainement
accroitre lintensité du plaisir quelle prenait à se faire sucer le clito. Je ne voyais pas le
visage de Malika, mais je lentendais gémir et respirer fortement, comme si elle manquait dair. Et
puis elle murmurait des mots que javais du mal à saisir totalement. Elle exprimait, avec des mots
crus, tout le plaisir qui lhabitait.
- Mlih ! Mlih ! Sucar ! Aacel ! Zid ! Zid ! Lahsouh ! Raadhouh ! (Cest bon ! Bon ! Du
sucre ! Du miel ! Lèche-le ! Tète-le !)
Au bout dun moment, je me dis quil était temps que jélargisse lactivité de ma bouche à toute la
chatte. Je posais mes lèvres sur ses grandes lèvres et les écartais avec ma langue que jessayais
dintroduire dans le vagin. Il y régnait une odeur enivrante de musc. Une odeur aphrodisiaque. Je me
mis à embrasser, sucer et téter, avalant par la même occasion tout le jus quelle produisait. Il
avait un agréable goût légèrement salé et acidulé.
La belle aimait ce que je lui faisais. Elle se mit à crier que cétait bon et quil ne fallait pas
que jarrête. Quelle allait jouir et me remplir la bouche de son jus ! Quil fallait que je le
boive sans en perdre une seule goutte ! Et quelle aussi allait boire tout mon foutre ! Quelle
nallait pas tarder à avoir un orgasme ! Que cétait la première fois quun homme lui faisait un
cunnilingus ! Quelle allait jouir rien quavec ma bouche ! Le tout en mélangeant les langues
arabes et françaises.
- Ma tahbesch ! Rahi djaïa ! Dhork enn faregh ! Enn faregh fi foumek ! Aadjib ! Enta aadjib
! Bghit Radjli i chouhni hakdha ! Aamrou ma darli hakdha ! Mlih ! Mlih ! Mlihhhhhhhhhh !
(Continue, narrête pas, je sens que je vais jouir ! Je vais décharger tout de suite ! Je vais
décharger dans ta bouche ! Cest merveilleux ! Tu es merveilleux ! Je voudrais que mon mari me voie
comme cela ! Il ne ma jamais fait ça ! Cest bon, bon, bon ! boooooon!)
Tout en criant ses demi-phrases et ses mots crus, elle me tenait la tête pour quelle ne quitte pas
sa chatte, poussait ses hanches contre ma bouche pour que ma langue puisse la pénétrer le plus loin
possible et se tortillait pour accroître le frottement de ma bouche contre ses grandes et petites
lèvres. De temps en temps, jattrapais son clitoris entre mes lèvres et le mordillais. Elle adorait
cela et gémissait plus fort pour me le faire savoir. Et puis tout à coup, ses gémissements
saccélérèrent, montrant quelle était sur le point de jouir ; tout son corps se crispa et elle
déchargea dans ma bouche, en poussant un long râle de mourante. Puis elle se relâcha totalement,
reposa ses jambes par terre et me força à venir lembrasser sur la bouche.
Jétais resté à genoux entre ses jambes ouvertes. Je bandais comme un âne. Javais envie de la
pénétrer et de prendre mon pied dans sa merveilleuse chatte. Je voulais lui faire sentir toute la
force de ma queue et la faire encore une fois grimper aux rideaux. Et je le lui susurrais à
loreille :
- Je vais maintenant te tirer ; je vais te pénétrer en force ; je vais te faire jouir encore
plus fort avec mon engin. Tu veux le voir ?
- Ouuuiiiii ! Sort ton zob, murmura-t-elle ; je veux le voir ; je suis sûre quil est immense.
Je veux que tu me baises comme une chienne; je veux être une chienne ! Ta chienne ! Kelba ! Qahba !
(Une chienne ! Une pute !) Nik-ni ki kelba ! (Baise-moi comme une chienne !)
Je lui pris la main droite pour la guider vers le renflement de mon pantalon de pyjama. Je voulais
quelle sorte elle-même lengin de sa cachette et quelle le découvre. Elle le fit avec
empressement. Je sentais quelle était pressée, dune part, de le voir et de ladmirer (elle avait
déjà senti quil avait une belle taille) et dautre part quil soccupe delle sans plus perdre de
temps. Elle y alla donc franchement et tata le monstre dune main experte qui me fit rugir de
plaisir.
- Ach-hal kbir ! (Comme il est grand !) Il est immense ! dit-elle en introduisant la main
sous à lintérieur du pantalon pour le caresser.
Je reçus comme une décharge électrique au contact de cette main si douce et si experte. Elle
manipula quelques secondes mon gourdin sous le pantalon, puis se décida à le sortir pour le mettre
à lair libre.
- Bghit en-chouffou (Je veux le voir !) dit-elle de sa voix rauque.
Elle fit descendre le pantalon le long de mes cuisses et mit à nu lengin qui, à force dexcitation,
était devenu immense.
- Hadha zeb taa bghel ! Machi taa aabd ! (Cest un zob de mulet, pas dhomme !) Kheft
i kesserli saouti ! (Jai peur quil ne me déchire la chatte !). En habbou ! (Je laime !)
Elle tâtait et palpait vigoureusement mon membre en me faisant tirer des gémissements de plaisir.
Javais même failli éjaculer tellement elle savait sy prendre. Javais dû retenir sa main qui
allait et venait sur la hampe pour arrêter la masturbation. Je ne voulais pas jouir grâce à sa main
; je voulais la tirer. Je voulais la baiser ! Je voulais la posséder ! Je voulais quelle soit à moi
! Quelle mappartienne ! Quelle soit à ma merci !
Elle était toujours assise sur le grand fauteuil du salon ; et moi jétais toujours à genoux par
terre, entre ses jambes ouvertes. Je lui fis lever les genoux de manière à ce quelle pose les pieds
sur le bord du fauteuil et quelle mouvre totalement la voie de son tunnel. Je présentai le gland
de mon gourdin entre les grandes lèvres mouillées et caressai avec le clitoris et les petites lèvres
palpitantes. Elle avait fermé les yeux et sétait mise à lécoute des sensations que lui procurait
le gland de mon gourdin entrain de lui caresser la chatte. Elle poussait des petits gémissements de
plaisir. Sa respiration devenait de plus en plus rapide et se transformait parfois en sifflements.
Son corps nu était totalement tendu ; il était en attente de la pénétration qui allait le délivrer
en lemportant au sommet du plaisir.
Et brutalement et dun seul coup, jenfonçais lengin jusquau fond du vagin inondé et chaud de ma
maîtresse. Je lui fis mal. Elle me le montra en poussant un petit cri de douleur et en ouvrant les
yeux pour regarder. Elle me lança un sourire éclatant et me fit signe de continuer, comme cela, en
force. Je ne me fis pas prier pour entamer, toujours en force, un mouvement de va-et-vient qui nous
fit pousser à tous les deux des cris de plaisir de plus en plus sonores. Je regardais ma belle qui
goûtait son plaisir ; elle avait les yeux qui brillaient et sur les lèvres un sourire énigmatique.
Sa bouche commençait à dégouliner de salive qui allait sétaler sur son cou et sa poitrine nus.
Je faisais faire à mes hanches de grands mouvements de va-et-vient pour introduire mon gourdin
jusquau plus profond de son tunnel. Jentrais et sortais sans précaution, limant violement les
parois du vagin. Etonnamment, Malika avait un vagin vraiment étroit. Malgré ses deux grossesses et
toutes ses années de mariage. Je me disais que lengin de son mari devait du genre rikiki, pour ne
pas avoir élargi, pendant tout ce temps, le tunnel de son épouse.
Chaque aller et retour de mon gourdin à lintérieur du tunnel de ma maîtresse avait un goût de miel.
Je sentais son vagin se refermer sur ma queue, la mouler totalement et épouser sa forme. Javais
limpression quil y avait à lintérieur une main douce et gluante qui mattrapait le manche et le
masturbait en tirant de moi des cris de plaisir de plus en plus forts. De toute ma vie amoureuse,
javais rarement rencontré un vagin aussi étroit ; pas même chez les quelques filles vierges que
jai eues à inaugurer.
Mes coups de boutoir à lintérieur du vagin de Malika provoquaient chez elle, comme chez moi, des
râles de plaisir qui allaient crescendo. Nos respirations devenaient de plus en plus saccadées et
courtes. Bientôt nous nous mîmes tous les deux à crier de plus en plus fort tout le plaisir que nous
prenions ; moi à la tirer comme cela, à la hussarde, brutalement ; elle à recevoir le monstre qui
limait son tunnel, comme il navait encore jamais été limé : avec autant de force joyeuse. Son vagin
sécrétait une énorme quantité de jus qui créait, à chaque passage du monstre, un indécent clapotis
de plus en plus sonore.
Les hanches de ma maîtresse se soulevaient et se rabaissaient au rythme des mes va-et-vient
endiablés. Sa tête dodelinait de droite à gauche et davant en arrière dans un mouvement
incontrôlable, dont elle navait peut-être même pas conscience. Son esprit était complètement sorti
de son corps pour aller planer au dessus du spectacle torride que nous donnions ; le bonheur se
lisait dans sa manière de jouir, sans retenue, aucune ! Elle criait, en arabe, des mots de plaisir,
qui ajoutaient énormément dintensité à notre excitation.
- Aacel ! Sukar ! Mlih ! Hlou ! (Du miel ! Du sucre ! Cest bon ! Cest doux !) Kbir !
Khchine ! I aamarli Saouti ! I wedjaani ! Wedjaani ! ( Il est grand ! Il est gros ! Il me remplit
la chatte ! Il me fait mal ! Fais-moi mal !) Yemma Ach-hal mlih ! Zid nik ni hakdha! Ma tahbesch
! Ma nhabsouch ! Enn nikou toul nhar ! Nik ni ! Nik ni ! Nik qahbtek ! Nik kelbtek ! (Maman, comme
cest bon ! Continue de me baiser comme ça! Ne tarrête pas ! Nous nallons pas arrêter ! Nous
niquerons toute la journée ! Nique-moi ! Nique-moi ! Nique ta pute ! Nique ta chienne !) Cheft
achhal enn hab zeb ! Achhal enn hab zebek ! Telaani le sma sebaa ! Rani fi sma sabaa ! Rahi
djaïa ! Dhork enfaregh ! (Tu as vu combien jadore le zob ! Combien jadore ton zob ! Emmène-moi
au septième ciel ! Je suis au septième ciel ! Je vais jouir ! Je vais décharger !).
Et effectivement elle eut un violent orgasme et déchargea, en hurlant, une énorme quantité de
cyprine qui augmenta dautant le niveau sonore des clapotis que faisait mon membre en allant et
venant dans son vagin. Même avec lénorme sécrétion de cyprine, son vagin continuait de mouler
fortement mon engin, qui nen pouvait plus. Je ne voulais pas jouir immédiatement ; jaurais aimé
tenir encore un peu de temps ; le temps de faire jouir ma mie encore une fois. Mais jen étais
incapable.
Encore un aller-retour et je poussai un «aaaaah !» de jouissance qui, me sembla-t-il, dura une
éternité. Jéclatai comme une bombe en envoyant une énorme giclée de foutre brûlant au fond du vagin
tétanisé, brulant et inondé de Malika. Mon hurlement de plaisir se mêlait aux râles de jouissance de
ma maîtresse. Elle était complètement essoufflée et semblait proche de la syncope. Je nétais pas en
meilleur état physique. Mais mon Dieu, quel plaisir intense nous venions de vivre!
Nous nous regardions, émerveillés, entrain de jouir sans retenue; puis entrain de reprendre notre
souffle, sans que nos yeux ne se séparent une seule seconde. Je lisais dans son regard comme dans un
livre : elle était heureuse ! Heureuse davoir vécu quelque chose de très fort ; quelque chose
quelle navait encore jamais vécu auparavant. Elle mavoua, quelques minutes après avoir repris nos
esprits, que jamais elle navait vécu un tel bonheur. Jétais vraiment étonné de cet aveu et je
voulus en savoir plus sur la question.
Elle mavoua que son histoire damour avec son mari navait absolument rien de sexuel. Elle laimait
vraiment, mais pas en tant quamant. Le sexe navait pas une grande place dans sa vie ; il était du
genre à faire lamour pour de simples raisons dhygiène. Il ne semblait pas avoir de besoins sexuels
énormes et surtout, il navait aucune tendance à aller au-delà la morale et de la bienséance. Sil
avait été chrétien, il aurait parlé de « pécher de chair » pour qualifier le besoin, trop répandu
chez les humains, de plaisir sexuel. Il aurait aussi repris à son compte ce poème chanté par Jean
Ferrat qui affirmait « quune femme honnête na pas de plaisir », pour rejeter toute revendication
féminine de plaisir sexuel. Cest dire combien Malika avait été sevrée de sexe depuis le début de sa
vie de femme.
Inutile de dire que jétais aussi fier quun coq. Je venais de faire découvrir à ma maitresse la
signification du mot jouissance sexuelle et orgasme. Elle maffirma quelle savait que ça existait
et que ce nétait pas que de simples mots elle lavait souvent lu et, surtout, elle avait des
amies qui lui racontaient leurs parties de jambes en lair avec leurs maris ou leurs amants et qui
lui rapportaient tout le plaisir quelles en tiraient mais quelle ne lavait jamais vécu. Faire
lamour pour elle avait surtout consisté à faire deux s. Pas plus. Elle sentait parfois son
corps frémir à lévocation dun bel homme de son entourage un voisin marié avec une de ses amies
dont lépouse, peut-être par méchanceté envers elle, vantait les capacités damant. Elle avait
souvent fait le rêve dêtre dans ses bras et de se faire tirer sans retenue par son sexe, quelle
imaginait être dune taille monumentale.
Mais dans sa vie réelle, elle navait encore jamais autant joui que cette matinée. Pas même quand
elle se caressait la nuit pour essayer de calmer le désir qui la prenait parfois, dun homme auquel
elle offrait son corps. Elle disait aussi quelle nen avait pas réellement souffert ; tout
simplement parce quelle navait jamais connu le vrai plaisir sexuel ; ni en tant que jeune fille
elle était arrivée totalement vierge au mariage - ni en tant que femme. Ce ne fut que cette fameuse
nuit, où les démons de la chair lavaient poussé à mappeler et à faire lamour au téléphone avec
moi, quelle avait réellement joui. Cétait aussi ce qui lavait poussé à venir me rejoindre ce
matin et vivre ce magnifique moment de bonheur. Car elle était vraiment heureuse ! Heureuse de ce
quelle venait de vivre.
- Naie crainte, avec moi tu connaîtras toutes les facettes dun véritable amour. Je vais te
faire découvrir des choses que tu ne soupçonnes même pas. Tu ne pourras plus jamais te passer de
sexe et dérotisme. Même quand je ne serais plus là cela arrivera bien un jour tu continueras à
vivre pour lamour ; et pour rien dautre.
- Tu penses vraiment que jai été bien ? Que je ne me suis pas comportée comme une fille des
rues ? Une catin ? Tu sais en y réfléchissant, jai encore honte de la manière dont je me suis
comportée avec toi ! Et toutes les insanités que je tai dites pendant que
.
(Elle hésitait à terminer sa phrase, nosant pas employer les mots justes pour illustrer ce qui
sétait passé entre nous)
- Dis-le ! Il ne faut pas avoir peur des mots ! Pendant que je te baisais ! Que je te tirais !
Que je te niquais ! Ce sont des mots et des phrases qui ont un véritable contenu aphrodisiaque. Les
prononcer pendant lacte ne fait quajouter au désir et au plaisir que lon prend. Jai adoré tout
ce que tu me disais surtout en arabe ! Et je suis sûr que toi aussi tu as libéré toute ta libido
avec ces mots. Ils constituaient une partie de tes fantasmes sexuels ; quils soient évidents ou
cachés. Dans nos prochaines parties de jambes en lair, tu utiliseras beaucoup dautres mots crus.
Et tu jouiras autant, sinon plus que tout à lheure. Dailleurs, jai encore envie de toi. Nous
allons passer toute la journée à faire lamour. Quand tu quitteras cette maison, tu auras
pratiquement tout connu de lérotisme. Je vais tout te faire ! Et tu vas tout me faire !
- Mais je suis fourbue, morte de fatigue ! Jai des courbatures partout ! Tu ne vas pas me
dire que tu es capable de me faire encore la même chose que tout à lheure !
- Plus que tout à lheure ! Et dabord je vais te prendre par la bouche ! Ne fait pas la moue
! Tu as une bouche qui fait penser à une chatte ! Il faut que mon engin y fasse son nid ! Tout à
lheure tu disais que tu allais boire mon sperme, comme moi javais bu ton jus, quand tu as déchargé
dans ma bouche. Et bien moi aussi je vais décharger dans la tienne. Je sais maintenant que tu nas
encore jamais sucé la bite dun homme. Et bien je vais tapprendre à le faire. Et même si tu naimes
pas tout de suite, à la longue tu finiras par apprécier. Et il ny a pas que ça : je vais aussi te
prendre par lanus. Lui aussi na jamais servi ! Et bien jaurai lhonneur et le bonheur de
linaugurer. Il ne faut surtout pas avoir peur ; tu finiras par me demander toi-même de te baiser
partout. Il ny a que la première fois qui est difficile. Dis-moi que tu veux !
- Pas par derrière ! Cest sale ! Et ma voisine qui se fait souvent enculer par son mari
ma affirmé que cela faisait très mal.
- Rien que la première fois, et je te promets que même cette première fois, la douleur
sestompera très vite et laissera la place au plaisir. Viens, allons dans la chambre, nous serons
beaucoup plus à laise sur le lit.
Je me levai du fauteuil et tendis la main à Malika pour quelle me suive. Elle était
merveilleusement belle dans sa nudité. Elle était toujours aussi bandante ! En fine mouche, elle me
précéda pour que jadmire son merveilleux corps nu. Dailleurs en la voyant marcher en balançant son
superbe cul nu, je sentis ma queue se réveiller et reprendre de la vigueur. Javais moi-même enlevé
le pantalon de pyjama que je portais avant de tirer Malika et était resté avec un simple tee-shirt.
Je bandais comme un âne en arrivant devant le lit et ma maîtresse qui me devançait, se retourna pour
me regarder. Elle vit le monstre qui était dressé comme un sabre et qui frémissait de désir. Elle
eut un sourire de louve, montrant ses canines et tendit la main pour sen saisir.
- On mavait dit que les hommes avaient du mal à rebander après avoir joui une première fois.
Ce nest pas ton cas. Ton zob est aussi en forme quil létait tout à lheure avant quil ne
soccupe de ma chatte. Et aussi dur ! Et aussi doux ! Je laime ! En-habbou !
- Alors suce-le ! Fait moi une fellation ! Bghit en-nikek mel foum ! (Je veux te niquer par la
bouche !)
- Je ne sais pas comment on fait ! Jai peur de te mordre la queue !
- Naie pas peur ! Mets-toi à genoux devant moi et prend-le dans ta main. Commence par
lembrasser et le lécher pour thabi à lui. Et puis ouvre très grand ta bouche et fait le
pénétrer à lintérieur. Tu verras, cest très facile ! Et puis cest tellement bon ! Pour moi !
Elle obéit à la lettre aux instructions que je venais de lui donner et rapidement, elle fit pénétrer
le gland entre ses lèvres. Elle avait oublié décarter ses dents. Il ne pouvait donc pas encore
pénétrer. Je lui ordonnai de bien ouvrir sa bouche et exerçai une forte pression avec mon sexe pour
quelle le laisse pénétrer à lintérieur. Elle eut un peu de mal au début, mais très vite, elle
comprit ce quil fallait faire et se mit à pomper comme une vraie pro. Cétait divin ! Elle avait
une bouche très accueillante ; chaude et humide. Dinstinct elle savait comment utiliser sa langue
pour titiller le gland de mon engin et menvoyer une série de petites décharges électriques très
agréables. Elle avait aussi très vite trouvé le rythme quil fallait et utilisait sa main pour me
masturber, en même temps quelle me suçait.
Je sentis quà cette allure je nallais pas tarder à jouir. Or je ne voulais pas jouir de cette
façon. Je voulais carrément la baiser par la bouche. Javais découvert et aimé cela avec une des mes
anciennes maîtresses, qui mavait initié à cette pratique. Cétait pour la femme une vraie .
Mais quel plaisir pour lhomme ! Je voulais essayer avec Malika, bien que je fusse sûr quelle
nallait pas apprécier. Quimporte ! Jattrapais la tête de ma maîtresse pour lempêcher de se
sauver et me mis à faire pénétrer mon sexe profondément dans sa bouche. Dabord avec précaution,
pour quelle nétouffe pas et aussi, pour quelle ne vomisse pas ; puis avec plus de force. Je
faisais tout de même attention à aménager quelques secondes de pause, pour quelle puisse reprendre
sa respiration mon sexe allait de plus en plus loin et dépassait maintenant la glotte et pour
quelle recrachât une partie de la salive quelle produisait à profusion, à cause de la présence de
mon gourdin dans sa bouche.
La sensation que jen tirais était exceptionnelle. Le palais de ma belle, ainsi que sa gorge,
navaient ni la douceur, ni la mollesse de son vagin. Ils étaient plus fermes, avec la même moiteur
et la même chaleur. De temps en temps mon sexe dérapait sur ses dents qui le raclaient et
provoquaient une forte douleur. Mais très vite elle se reprenait et écartait les dents. Elle avait
compris ce que je lui faisais et avait accepté de me laisser faire. Mon Dieu que cétait bon ! Il y
avait certainement beaucoup de perversion en moi. Peut-être même un brin de sadisme. Car jadorais
ce que je lui faisais, tout en sachant quelle devait avoir atrocement mal.
Je tenais à deux mains la tête de Malika et je la pinais sans retenue; en force. De temps en temps,
elle résistait et me poussait à sortir quelques secondes de sa bouche pour pouvoir reprendre sa
respiration, et pour éloigner lenvie de vomir qui la prenait assez régulièrement quand mon engin,
trop long, allait titiller et dépasser la glotte. Mais elle le remettait très vite à lintérieur de
la bouche et reprenait lopération. Cela ressemblait à une véritable opération de . Je
sentais que dune part elle souffrait beaucoup je lui raclais la gorge et lui faisais très mal, et
que dautre part je lui causais une vraie gêne pour respirer.
Elle avait les yeux qui larmoyaient et ses narines coulaient comme une fontaine. Ce spectacle
accroissait encore lintensité du plaisir sadique que je prenais. Egoïstement, je profitais que ma
belle ne protestait pas, pour continuer à la piner comme cela. Jessayais de retarder léjaculation,
en contrôlant larrivée de lorgasme. Je voulais profiter au maximum de cette bouche denfer. Quand
enfin, la jouissance arriva, tel un torrent en crue, jenvoyais une série de giclées de sperme -
moins épais et dru, mais tout aussi volumineux que tout à lheure - qui alla au fond de sa gorge.
Elle commença par avoir le réflexe de vomir le goût étrange et la viscosité du foutre, mavait-
elle expliqué plus tard mais elle se reprit très vite et en avala une grande partie. Le reste,
elle le recracha sur mon sexe et sur mes cuisses.
Il lui avait fallu quelques longues minutes avant que les choses ne redeviennent normales. Elle eut
du mal à parler javais certainement raclé ses cordes vocales avec mon engin et à se débarrasser
du goût du sperme quelle avait encore en bouche. Mais elle paraissait très contente delle. Cétait
comme si elle venait de réaliser un exploit. Elle ne sattendait certainement pas à ce quelle se
fasse tirer par la bouche. Mais maintenant quelle lavait fait, elle en était fière.
- Jai été à la hauteur, nest-ce pas ? (Ce nétait pas une question. Cétait une
affirmation.)
- Tu as été merveilleuse ! Je savais, au moment même où je tavais vue dans le magasin, que tu
étais un superbe coup ! Tu viens de me le démontrer. Je men veux un peu de tavoir traité comme
cela. De tavoir fait mal. Et surtout que tu ny aies pris aucun plaisir. Mais pour moi, cétait
merveilleux. Tu vas bientôt devenir une vraie experte en amour. Nous referons lamour encore
plusieurs fois aujourdhui. Et demain ! Et après-demain ! Et toute notre vie ! Dis-moi que tu
resteras avec moi et que nous vivrons tous les deux les plus beaux moments de notre vie !
- Pour aujourdhui, cest fini ! Mais demain je reviendrai ! Et après-demain ! Je veux
vraiment tout connaitre du sexe et de lérotisme. Je veux encore jouir sous tes coups de boutoir. Je
veux encore que tu me baises. Que tu me baises encore et encore ! Dis-moi que tu ne te fatigueras
jamais de moi ! Bghit ethabni kima anna ennhabek ! (Je veux que tu maimes, comme moi je taime !)
Ou bghit hadha zeb i koun lyïa ! Ghir lyïa ! (Et je veux que ce zob soit à moi ! Rien quà moi !)
Ahlef ! (Jure-le !)
Et je jurai ! Ce fut ainsi que notre relation continua, le lendemain et le surlendemain ! Et des
semaines et des mois après ! Elle dura en fait plusieurs années, au cours desquelles nous connûmes
un bonheur presque parfait. Une relation faite dun érotisme torride, toujours renouvelé, qui nous
avait amené vers les plus hauts sommets du plaisir sexuel.
Deux années plus tard, elle se découvrit même une tendance à la bisexualité et engagea une relation
avec une jeune voisine, dune beauté à couper le souffle, qui venait demménager dans la maison à
côté de la sienne. Elle venait de se marier avec un homme très riche, mais aussi très vieux qui
lavait prise comme deuxième épouse. Malika tomba folle amoureuse de Chiraz et partagea son amour
entre elle et moi. Elle finit même par me la présenter.
Mais ceci est une autre histoire.
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